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| Achoura une fête judéo-musulmane | |
| | Auteur | Message |
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Naima Webmaster
Messages : 1800 Date d'inscription : 14/11/2007
| Sujet: Achoura une fête judéo-musulmane Ven 4 Jan - 9:10 | |
| Le monde musulman célèbrera Achoura. Cette fête initialement juive, correspond au dixième jour du mois de Muharram, le premier mois de l’année musulmane. Elle revêt toutefois différentes significations pour les deux grands courants de l’Islam, le sunnisme et le chiisme. Pour les uns, elle marque le début de festivités, pour les autres c’est une journée de deuil commémorant la mort de Hussein, petit-fils du Prophète Mahomet et fils de Ali ibnou abi Talib.
Pour tous les musulmans le jour d’Achoura est initialement une célébration juive. Cette datte, marquant le dixième jour du mois de Muharram, premier mois de l’année de l’Hégire, incite à l’observation du jeûne. Dans certains pays sunnites, comme au Maroc, cette cérémonie est également perçue, depuis des siècles, comme celle de l’enfance et de la famille. Distribution de friandises, cadeaux, pratiques à caractères carnavalesques... l’ambiance est aux festivités. Ailleurs, dans les régions de confession chiite, Achoura est un signe de deuil, car il s’agit d’un jour de grande importance commémorant l’anniversaire de la mort de Hussein, petit fils du Prophète Mahomet.
Trait d’union entre le judaïsme et l’Islam « Avant même d’être une fête musulmane, Achoura était une fête juive, marquant l’exode des enfants d’Israël après leur délivrance par le prophète Moïse. Le prophète Mahomet, en 622, alla à la rencontre des juifs le jour du Youm Kippour, fête de l’expiation durant laquelle ils jeûnaient. Lorsqu’il leur demanda la raison de ce jeûne les juifs répondirent que c’était en souvenir du ‘jour où Dieu donna la victoire à Moïse et aux fils d’Israël sur Pharaon et ses hommes’ », explique M. Rais, directeur des Affaires Culturelles de la Mosquée de Paris.
Le Directeur de l’association des musulmans d’Ile de France, Merrun Khalil, poursuit que c’est pour cette raison, que le Prophète Mahomet ordonna aux musulmans d’observer le jeûne ce jour là, lesquels ne comprenaient pas vraiment pourquoi ils devaient perpétrer cette tradition qui n’était pas la leur. Lorsqu’ils le lui demandèrent, le prophète leur répondit humblement que c’était parce qu’il considérait Moïse comme « plus proche » d’eux. C’est ainsi que Achoura est entrée dans la sacralité de l’Islam. Un an plus tard, pour confirmer la continuité de la cérémonie juive et s’inscrire dans la tradition de Moïse, le Prophète Mahomet recommanda aux musulmans de jeûner deux jours, les neuvième et dixième jours du mois de Muharram qui marque Achoura. D’où l’origine étymologique de cette fête. « Achara » signifie dix en arabe et reprend ainsi le dixième jour de Muharram. Cette fête marque la liaison entre deux religions, le Judaïsme et l’Islam. C’est un « lien naturel et historique entre deux communautés fraternelles » que tout oppose de nos jours, explique unanimement M Rais et Merrun Khalil.
Une journée entre joie et douleur. Les musulmans considèrent de ce fait Achoura comme un jour de jeûne. Un jour de jeûne recommandé et non obligatoire. Les savants se réfèrent à un hadith [*] de Sahih de Boukhari et de Mouslim rapportant que : « aujourd’hui est le jour de achoura, Allah n’a pas fait un devoir pour vous de le jeûner ; que celui qui le veut jeûne et que celui qui ne le veut pas, ne jeûne pas ». La cérémonie est célébrée différemment selon les écoles chiites et sunnites. Pour les chiites, Achoura est un jour de deuil important qui marque la mort de l’imam Hussein tué et décapité au combat il y a 13 siècles. Une figure emblématique du chiisme et petit-fils du Prophète Mahomet. C’est le jour du Pèlerinage à Kerbala, ville sainte au centre de l’Irak où se trouve la tombe d’Hussein. Tout au long de la journée, les hommes marchent dans les rues en se frappant la poitrine et la tête pour exprimer leur peine collective. Des manifestations impressionnantes de flagellation ont également lieu au cours de ces cérémonies expiatoires.
Pour les pays sunnites du Maghreb, le concept est différent. Achoura, qui n’est pas mentionnée dans le Coran, est considérée comme une fête mineure. Elle symbolise l’accostage de l’Arche de Noé. Les Marocains, par exemple ont ajouté aux cérémonies religieuses des concepts culturels qui ne relèvent pas de l’Islam. Pendant deux jours, les enfants sont mis à l’honneur. Le premier jour, la tradition veut qu’on leur offre des cadeaux, des friandises, et que des spectacles viennent égayer les rues. Le deuxième jour, les enfants s’amusent à asperger d’eau les passants et leurs proches, une pratique connue de tous les Marocains sous le nom de zem-zem. Certaines familles en profitent pour accomplir la zakat, un des cinq piliers de l’Islam, qui consiste à faire l’aumône. D’autres visitent les cimetières, brûlent de l’encens... des rituels qui se perdent malheureusement au fil des ans.
Source : afrik.com
Dernière édition par le Ven 4 Jan - 9:24, édité 1 fois | |
| | | Naima Webmaster
Messages : 1800 Date d'inscription : 14/11/2007
| Sujet: Re: Achoura une fête judéo-musulmane Ven 4 Jan - 9:15 | |
| A l'approche d'Achoura, l'ambiance enchanteresse est au rendez-vous. Les jouets envahissent les grandes surfaces et les marchés et les vitrines des magasins se parent de lumières et de centaines de décorations de toutes sortes. Dans la ville ocre comme dans les autres régions du Royaume, l'Achoura (qui correspond au dixième jour du mois de Mouharram) est perçue, depuis des siècles, comme une fête religieuse. Marquée par les prières, le jeûne, la visite des cimetières et la distribution de la zakat, l'Achoura revêt ainsi une signification spirituelle et sociale indéniable.
Traditionnellement, le couscous préparé avec de la viande séchée de l'Aïd El Kébir est à l'honneur. Les familles achètent des noix, des amandes et des dattes font brûler de l'encens tout au long de la journée.
Le soir, des ensembles se créent pour donner la dakka (la frappe) entrecoupée de chants, et perpétuent jusqu'à une heure tardive ces anciennes traditions. Des joutes poétiques chantées opposent les habitants de différents quartiers.
Mais Achoura est aussi la fête des enfants par excellence. Habillés de neuf, les enfants reçoivent des cadeaux. Si auparavant, on offrait aux garçons des tambours, appelés « Derbouka », et aux filles des « Taârija », petit tambour que l'on tient des deux mains, aujourd'hui les choses ont changé.
Ce sont plutôt les pistolets, les poupées et les épées futuristes au design semblable à celui des dessins animés et les jeux vidéo, les voitures, les motos et les poupées de différentes tailles et couleurs qui remportent le plus de succès. Les étalages multicolores des boutiques suscitent la curiosité des enfants et invitent à l'achat. Mise à part les « Taârija » et les « Derbouka », joujoux emblématiques de cette fête, choisir un jouet s'avère parfois une tâche difficile.
Le lendemain d'Achoura, les enfants s'amusent à asperger d'eau les passants et leurs proches, une pratique communément appelée « Zem-Zem » en référence au puits du même nom à La Mecque.
Source : marrakechnews.net/. | |
| | | tamzilte Admin
Messages : 1650 Date d'inscription : 04/01/2008
| Sujet: Re: Achoura une fête judéo-musulmane Mer 16 Jan - 8:07 | |
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Samedi prochain, c’est Achoura, la fête des enfants par excellence. Au-delà de la dimension historique et religieuse de cette commémoration, Achoura est l’équivalent musulman de Noël, les parents offrant à leurs enfants des cadeaux, qui sont souvent des jouets. Rien de très particulier si ce n’est que les jouets sont devenus des objets pouvant menacer la santé, voire la vie de notre progéniture. « Les gens sont inquiets quant à la qualité des jouets et certains ne veulent absolument pas acheter ce qui a été fabriqué en Chine », indique la représentante d’une entreprise de vente de jouets au Canada. Mondialisation exige, les soucis des parents canadiens sont ceux de tous les parents de tous les pays du monde. Et pour cause, la Chine représente 60 % des ventes de jouets dans le monde.
L’information qui a le plus suscité d’inquiétudes au sujet du danger que représentent certains jouets pour les enfants est venue des Etats-Unis. La multinationale Matell, spécialisée dans les jouets, a fait retirer cette année du commerce à travers le monde 20 millions de produits fabriqués sous licence en Chine.
Pour qu’une entreprise de la taille de Matell, leader américain du secteur des jouets, rappelle des produits déjà mis en vente, ce qui signifie grosses pertes financières et image de marque ternie, c’est que le risque était très important. Qu’on en juge : des enfants ont avalé des aimants contenus dans des jouets et ont dû être opérés pour des perforations intestinales !
Pour couronner le tout, un fabricant chinois se serait suicidé après avoir été accusé d’utiliser une peinture au plomb dans la fabrication de jouets. Et les cas d’enfants ayant subi les effets néfastes sur la santé de jouets fabriqués en Chine sont devenus légion de par le monde.
Qu’en est-il au Maroc ? il y a quelques mois, les chauffe-eau importés de Chine avaient suscité un véritable scandale. Nombre de personnes avaient péri asphyxiées par ces chauffe-eau de piètre qualité et représentant un réel danger. Réagissant face à cette situation, les responsables publics n’ont pas pour autant pris les précautions d’usage envers tous les produits chinois, bon marché et de qualité douteuse.
La Chine est le premier fabricant de jouets dans le monde, dont une partie sous licence de multinationales. Mais la qualité de ses produits continue de constituer un véritable problème. Conscientes de la gravité de cette situation, les autorités chinoises ont inspecté 3.000 fabricants de jouets et retiré les licences d’exportation de plus de 600 entreprises du secteur.
Les consommateurs marocains sont en droit d’attendre des responsables publics une protection contre tous les produits qui constituent une menace pour la santé, particulièrement ceux destinés aux enfants. Il s’agit, dans le cas de figure, non seulement de retirer des marchés les jouets chinois “dangereux”, mais aussi d’établir un meilleur contrôle des produits importés.
Le Maroc ne doit pas se transformer en une décharge des produits importés bon marché au nom d’un libre-échangisme qu’il ne faudrait surtout pas assimiler au laisser-aller. C’est là une question de santé publique qui doit normalement prévaloir sur tout autre considération.
lopinion.ma
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| | | tamzilte Admin
Messages : 1650 Date d'inscription : 04/01/2008
| Sujet: Re: Achoura une fête judéo-musulmane Mer 7 Jan - 2:27 | |
| Achoura: Des festivités sur fond de tristesse Trop préoccupés par les tragiques événements en Palestine, les Marocains n'ont pas le cœur à festoyer16h, marché Al Kasbah de Mohammedia, cinq jours avant Achoura. D'habitude, les gens se bousculaient devant les marchands de jouets qui se frottaient déjà les mains dans l'attente de belles recettes. Cette année, les clients semblent pris par d'autres raisons aussi prioritaires que désolantes. Il s'agit des atroces affrontements de Gaza ainsi que la crise économique internationale. Au milieu du marché, des fillettes toutes guillerettes tapent sur leurs petites «Taârija» et «bendirs» qu'elles viennent d'acheter. De temps à autre, elles arrêtent leurs moments festifs à la vue d'un passant au regard menaçant ou par crainte des avanies qui fusent de partout dès que le moindre son de «Taârija» se fait entendre. Un peu plus loin, l'ambiance chez un groupe de garçons est plus calme. Ces derniers semblent avoir compris que le peuple marocain n'a pas le cœur à rire ces derniers temps. Du côté des adultes, les faits et les gestes sont plus parlants. Car rares sont ceux qui déclarent solennellement vouloir fêter la nuit d'Achoura. Preuve en est que la quasi-totalité des foyers marocains ont le coeur lourd et n'ont d'yeux que pour les chaînes satellitaires qui couvrent les meurtres d'Israël à Gaza. Autre ville, même ambiance morose. A Bab Marrakech à Casablanca, l'achat est loin de battre son plein.
Les passants n'empruntent apparemment cette ancienne médina que pour rentrer chez eux. A quelques ruelles des marchands, de petites filles jouent sans le moindre petit bruit. Quand l'une d'elles commence à chantonner, elle ne tarde pas à changer de comportement, et ce, sous les appels au silence lancés par sa mère qui lui demande de rentrer car «le climat politique des derniers temps n'est pas propice aux chants et youyous». La crise économique internationale vient également ajouter son grain de sel dans ce climat de consternation et gâche les airs de fêtes inhérents à cette période de l'année. Indéniablement, cette dernière n'est pas aussi forte que l'effet des atrocités de Gaza sur le moral des Marocains, mais, son effet sur le commerce est perceptible, selon plusieurs commerçants et autres parents. Pour faire face à cette période de vaches maigres, les commerçants de Bab Marrakech n'hésitent pas à augmenter le prix de leurs articles. Et si certaines mères refusent catégoriquement de succomber aux cris et pleurs de leurs petits qui réclament un jouet, d'autres se laissent facilement emporter par leur tendresse.
A deux ruelles de l'entrée, d'autres produits se vendent en toute quiétude. Il s'agit des fruits secs, de l'encens et autres encensoirs… Effectivement, les clients de ces friandises et effluves sont loin de se bousculer devant les marchands ; pourtant, ce petit commerce est visiblement le plus prisé du moment.En outre, révolus ces pétards qui explosaient l'un après l'autre, tout au long de la semaine qui précède le jour de Achoura. En effet, dans certaines villes du Royaume l'on entend rarement le son de la détonation des pétards, vu que les mesures de sécurité ont été renforcées. Par ailleurs, le lendemain de Achoura, le temps est aux espiègleries. Ainsi, rares sont ceux qui sont prêts à renoncer au plaisir d'asperger d'eau les passants, des gamins jusqu'aux vieillards en passant par les femmes enceintes, festivités de Zem-zem obligent ! Car quelques seaux d'eau ne coûtent pas cher…
Critères de choix Au Maroc, la majorité des jouets sont importés. Ce sont des jouets produits pour des enfants d'autres cultures et d'autres environnements sociaux souvent différents des nôtres. Le jouet a une réceptivité pour le moins constante. Toutefois, cette dernière est de plus en plus remplacée par l'agressivité transcendante des milieux où le modèle a été conçu. Cette inadéquation nous sollicite à revoir les programmes d'importation et encourager les productions nationales pour que la substitution de jouets traditionnels soit la mieux adaptée à nos enfants. Cette situation touche de fond notre système éducatif et il est temps de créer une structure officielle pour le contrôle de la qualité, de la sécurité et de l'éthique du jouet. Autrement dit, un bon jouet doit solliciter chez l'enfant l'imagination et la créativité. Il doit être découvert naturellement par l'enfant sans mode d'emploi. Il faut qu'il soit solide, durable, incassable et inaltérable. De même lors de sa manipulation, le jouet doit être sûr et ne présenter aucun danger à l'enfant. De ce fait, l'Association marocaine de protection et d'orientation du consommateur (AMPOC) attire l'attention des parents sur les dangers associés aux jouets dangereux et conseille les parents de prendre les précautions nécessaires au moment de l'achat d'un jouet.Par Houda BELABD | LE MATIN | |
| | | Naima Webmaster
Messages : 1800 Date d'inscription : 14/11/2007
| Sujet: Re: Achoura une fête judéo-musulmane Mar 15 Déc - 3:47 | |
| Achoura et commémorations Le jour de l'Achoura a une signification socio-historique chez les chiites et les juifs. Ainsi, ils le célèbrent d'une manière très différente des sunnites.
Les juifs commémorent la sortie des hébreux de l'Egypte des Pharaons.
Cependant, si chez les sunnites ‘Achoura' est un jour de grande joie, pour les chiites c'est un jour de deuil.
La date du 10 ‘moharram', premier mois du calendrier arabe, correspond en fait, pour eux, à la commémoration de la mort de Hussein, petit-fils du Prophète Sidna Mohammed et fils de Ali Ibn Abi Talib, gendre du Prophète, en l'an 61 de l'Hégire (680 après J.C).
La tradition chiite rapporte que ce jour-là, Hussein a été décapité et mutilé à Kerbala, en Irak. Le tombeau de Hussein, situé à Kerbala, est, depuis, un lieu saint de pèlerinage. Tous les ans, en signe de deuil, les hommes appartenant à ce courant de l'Islam, en Irak, et en Iran, se mutilent en public, jusqu'au sang. Dans une scène sanglante accompagnée de cris et de larmes des fidèles. Un deuil qui se poursuit 40 jours.
En Iran, cette commémoration est traduite par ‘Taâzieh', un genre théâtral qui rejoue le massacre de l'imam Hussein. Il est opportun de noter que ce fait de s'automutiler jusqu'au sang est interdit en islam puisque la personne, par la suite, peut se donner la mort.Extrait d'article: lematin.ma | |
| | | tamzilte Admin
Messages : 1650 Date d'inscription : 04/01/2008
| Sujet: Re: Achoura une fête judéo-musulmane Sam 26 Déc - 9:18 | |
| - Naima a écrit:
A l'approche d'Achoura, l'ambiance enchanteresse est au rendez-vous. Les jouets envahissent les grandes surfaces et les marchés et les vitrines des magasins se parent de lumières et de centaines de décorations de toutes sortes.
Dans la ville ocre comme dans les autres régions du Royaume, l'Achoura (qui correspond au dixième jour du mois de Mouharram) est perçue, depuis des siècles, comme une fête religieuse. Marquée par les prières, le jeûne, la visite des cimetières et la distribution de la zakat, l'Achoura revêt ainsi une signification spirituelle et sociale indéniable.
Traditionnellement, le couscous préparé avec de la viande séchée de l'Aïd El Kébir est à l'honneur. Les familles achètent des noix, des amandes et des dattes font brûler de l'encens tout au long de la journée.
Le soir, des ensembles se créent pour donner la dakka (la frappe) entrecoupée de chants, et perpétuent jusqu'à une heure tardive ces anciennes traditions. Des joutes poétiques chantées opposent les habitants de différents quartiers.
Mais Achoura est aussi la fête des enfants par excellence. Habillés de neuf, les enfants reçoivent des cadeaux. Si auparavant, on offrait aux garçons des tambours, appelés « Derbouka », et aux filles des « Taârija », petit tambour que l'on tient des deux mains, aujourd'hui les choses ont changé.
Ce sont plutôt les pistolets, les poupées et les épées futuristes au design semblable à celui des dessins animés et les jeux vidéo, les voitures, les motos et les poupées de différentes tailles et couleurs qui remportent le plus de succès. Les étalages multicolores des boutiques suscitent la curiosité des enfants et invitent à l'achat. Mise à part les « Taârija » et les « Derbouka », joujoux emblématiques de cette fête, choisir un jouet s'avère parfois une tâche difficile.
Le lendemain d'Achoura, les enfants s'amusent à asperger d'eau les passants et leurs proches, une pratique communément appelée « Zem-Zem » en référence au puits du même nom à La Mecque.
Source : marrakechnews.net/. Comme chaque année, les marocains celèbrent avec grande joie le jour de l'Achoura. On jeûne les jours du 9 et 10 Moharram de l'an Hégir et le soir on termine la fête avec du couscous garni avec de la viande sèche sans oublier de partager des fruits secs...les enfants quand à eux eux sont darlotés par leurs chers parents qui leurs choisissent de très beaux jouets. "Achoura Mbarka Mabrouka" | |
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